A. Clement*a (Dr)

a Centre hospitalier de Meaux, Meaux, FRANCE

* alex.clement.cmf@gmail.com

Un robot-philosophe tient une conférence au Collège de France sur le thème : « Robot, trop robot », lecture actualisée de l’ouvrage de Friedrich Nietzsche, Humain trop humain (1878). Dans l’assemblée, ses propos sont suivis par le ministre des Robots et des Androïdes, ainsi que par plusieurs robots-journalistes. - Ainsi sont les prévisions, du développement de l’intélligence artificielle (IA), pour l’année 2050.

Mais, en 2019, qu’en est-il, pour la chirurgie maxillo-faciale ?

En chirurgie maxillo-faciale, les deux domaines le plus concernés par le développement de l’IA sont l’imagerie médicale et l’oncologie. Mais, la chirurgie orthognatique, la robotique, la chirurgie crânio-faciale, la microchirurgie, l’anatomie pathologique, la chirurgie des brûlés et même la chirurgie esthétique ne sont pas en reste. On peut, aussi, citer le dépistage des maladies génétiques et l’emploi de l’IA dans la formation des élèves en chirurgie.

Et, ceci n’est que le début.

A ce jour, l’IA rencontre certaines limites, qui sont à évoquer.

L’Intelligence artificielle (IA) est un concept élaboré par le mathématicien britannique Alain TURING, en 1950, pour déterminer le degré d’intelligence d’une machine.

69 ans plus tard, on commence à voir quelques articles, traitant l’IA en chirurgie maxillo-faciale.

Bibliographie

Philosophie magazine. ? 118. Avril 2018.