A. Touat*a (Dr), M. Benaliaa (Dr)

a Etablissement Hospitalier et Universitaire d'Oran, Oran, ALGÉRIE

* doctouat@yahoo.fr

  1. Touat *a (Dr), M. Benalia b (Dr)

a Etablissement Hospitalier et Universitaire 1er Novembre 1954, Oran, ALGÉRIE ; b Etablissement Hospitalier et Universitaire 1er Novembre, Oran, ALGÉRIE

* doctouat@yahoo.fr

Introduction

Les tumeurs odontogènes épithéliales mandibulaires sont représentées en majeure partie par les améloblastomes, elles imposent du fait de leur très fréquente évolutivité et difficultés thérapeutiques un diagnostic aussi précoce que possible.

Matériels et méthode

Nous rapportons un cas d’une jeune patiente âgée de32 ans que nous avons pris en charge pour une tumeur mandibulaire d’allure kystique allant de l’angle gauche au coroné homolatéral. La patiente a bénéficié d’une cure chirurgicale (énucléation) dont l’examen anatomopathologique de la pièce opératoire est revenu en faveur d’une adamantinome dans sa forme kystique.

Discussion

Siégeant avec prédilection dans l’angle avec double extension dans la région molaire et dans le Ramus l’améloblastome est d’une remarquable latence clinique.

Les signes cliniques sont dominés par la tuméfaction, le trismus est rare et modéré ; les signes dentaires au niveau des molaires sont assez constants.

? la radiographie ; les images sont d’aspect variable, l’image poly géodique est la plus évocatrice.

La chirurgie occupe de très loin la première place, elle peut être limitée, conservatrice c’est le cas de l’énucléation. La chirurgie élargie est représentée ^par les résections interruptrices ou interruptrices.

Mots-clés : mandibule, améloblastome